Idées fausses sur l'alimentation

Prenant à contrepied, le discours officiel en matière de santé, j’expliquais déja il y a dix ans que le sel était vital pour notre organisme. J’ai persisté depuis ce temps et enrichi mes recherches et ma base documentaire.

Partant de Jacques Béclard, secrétaire de l’académie de Médecine en 1870, en passant par le Pr Parturier, hépatologue à Lille en 1939 ainsi que le Pr Mach de l’université de Genève,  les travaux du Dr Paya, membre de l’académie de médecine de New-York, et du Pr Sempéré d’Alicante ont confirmé ma position.
Même le « guide des 4000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux » des Pr Even et Debré, paru en 2012, abonde dans mon sens.
A ce sujet, les dernières informations toutes récentes sont encore plus croustillantes et émanent du Pr Yusuf, Président de la Fédération Mondiale de Cardiologie. En effet  au cours du congrès international de cardiologie de Davos, en février 2017, ce médecin a jeté un pavé dans la mare en rendant public les résultats de ces études en matière d’aliments, de matières grasses et de sel.
Ses conclusions sont simples et peuvent se résumer ainsi :

•          Plus l’alimentation est riche en glucides et pauvres en lipides (gras), plus on augmente son risque cardiovasculaire
•          Le cholestérol n’est pas notre ennemi
•          Il faut augmenter sa consommation de sel
•          Les œufs sont bons pour la santé
•          Depuis 1970, toutes les études visant à restreindre les graisses saturées et le sel sont fausses et sans fondement scientifique sérieux.

Le livre « Alimentation & Santé au quotidien, les idées fausses », paru en 2016, vous donnera encore plus de détails. 

Vous trouverez aussi sur mon blog minerauxetcorpshumain.fr de nombreux articles et dossiers à ce sujet, et j’ai également mis en ligne la vidéo, en anglais, du Pr Yusuf. N’hésitez donc pas à vous documenter pour ceux que cela intéressent.

Le poète, journaliste et moraliste Chamfort disait : « Qui a raison un jour avant tout le monde passe pour un fou pendant un jour ».
Suite à ces publications scientifiques, il reste à espérer que  le discours médical et celui des naturopathes changent  d’orientation.